QUEBECITUDE

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Quel est la vraie nature du Bloc Québécois?

TRANSMIS À:  Journal de Québec, Le Soleil, La Presse, Paul Martin, Christian Simard, Liza Frula et Cybrepresse.
 
 
Québec, le 9 janvier 2006
 
QUEL EST LA VRAIE NATURE DU BLOC QUÉBÉCOIS?
 
 
Il paraît qu'un jour le Bloc Québécois s'en est allé à Ottawa pour protéger nos intérêts et promouvoir la Souveraineté du Québec.  Plus les années passent et plus la grande mission de ces missionnaires sa ramassent sous les tapis de portes.  Lors de la dernière élection fédérale, le Bloc aurait pu enfoncer le clou, pour faire activer le processus de Souveraineté.  Il ne l'a pas fait.  En ce faisant, il s'assurait de l'élection d'un nombre respectable de députés, pour faire en sorte que ses caisses se gonflent, encore plus, et leur rapportent un confort douillet, dans cette Chambre des Communes qu'ils affectionnent très certainement.
 
Nous sommes, encore une fois de plus, en processus électoral et le Bloc Québécois ne veut pas parler de Souveraineté et ne donne, aucune chance aux Conservateurs, ce qui pourrait faire battre, assurément, les Libéraux.  En fait, les Libéraux et le Bloc sont des complices.  Ils ont besoin l'un de l'autre.  Quand est-ce que les Québécois vont réaliser que nous ne sommes pas dans un processus démocratique tout à fait propre.  Pour parler en termes simples, disons qu'en nous sentant obligés de voter, contre le pouvoir, nous votons pour le Bloc qui n'aura jamais, NI LE POUVOIR DE GOUVERNER LE PAYS, NI DE POUVOIR à Ottawa pour AMÉLIORER VRAIMENT LE SORT DE SES COMMETTANTS.  En votant pour le Bloc, nous perpétuons l'arrogance Libérale et nous empêchons même le nouveau Parti Conservateur, d'évoluer dans une meilleure modernité.  Je n'ai pas parlé du NPD, parce qu'ils ont toujours été pratiquement absents au Québec et cela est surprenant.  Nous avons ici pourtant un fermant d'individus qui pourraient s'accomoder très bien des visions sociales à la NPD.  C'est difficile à comprendre cette absence chez-nous de ces socialistes.  Les ligues syndicales pourtant portés sur le bien-être des travailleurs, n'apportent pas leur appui.  On a vu ça l'autre jour en Ontario.  Une des plus grosses organisations syndicales au Pays ont ciré les BOTTES de Paul Martin au lieu de l'avoir fait pour Jack Layton.  Surprenant  n'est-ce-pas ce virage d'une grosse "union" à ce moment-ci de la campagne.
 
Heureusement, le Bloc Québécois se rapproche de plus en plus de son Terminus et il faudra bien qu'il annonce un jour que le TRANSPORTEUR est arrivé à destination et que tout le monde doit quitter avec armes et bagages.  En attendant, nous perdons toutes opportunités de PROGRESSION DE NOTRE PROSPÉRITÉ et les jeunes qui nous suivent, vont devoir retrousser leurs manches, se cracher dans les mains à la Parizeau,  et travailler plus fort que les bébés boomers l'on fait pour se créer une retraite le moment venu.  Le prix à payer, pour vivre en ce pays, est devenu trop onéreux et j'ose espérer qu'on ne sera pas obligé de vendre des terrains à rabais ou donner notre eau douce  à des multinationales pour payer des dettes et des folies antérieures à la Trudeau, à la Turner, à la Mulroney, à la Chrétien, à la Martin et bientôt ce sera Harper, mais lui il devra regarder dans le rétroviseur souvent parce qu'il sera continuellement dérangé par des enragés du volant qui vont lui "pousser dans le cul".
 
 
Gilles Pelletier, Québec.  quebecitude@yahoo.ca
 


09/01/2006
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