QUAND ON SE PAYE UN MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION. . .
Québec, le 30 juillet 2006
QUAND ON SE PAYE UN MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION, IL FAUT QUE CELA RAPPORTE UN JOUR ...
Madame Boucher vient d’informer la population qu’elle va exiger une compétence linguistique pour embaucher du personnel à la ville de Québec. C’est une excellente chose et lorsqu’elle était mairesse de Sainte-Foy, elle s’est certainement rendu-compte que son vis-à-vis de Québec de jadis, était sans doute doué dans ses communications verbales, mais elle a certainement pu s’étonner d’une moins grande douance dans ses communications écrites. À certains égards, notre valeureux maire n’aurait pas été couronné champion dans une dictée de Bernard Pivot. C’est sans doute pour cela que la ville de Québec était plutôt mollassonne quand il s’agissait d’exiger une qualité respectable du français lors de l’embauche de son personnel.
Toujours est-il que madame la mairesse prend nos intérêts et nous lui en sommes reconnaissants. Autrefois, nous avions le Département de l’Instruction Publique et jamais des reproches n’étaient adressés à nos gradués quand venait le temps de les mettre à l’épreuve dans leur compétence linguistique. Pourquoi donc, plusieurs décennies plus tard, nous sommes engloutis par un budget ASTRONOMIQUE pour faire rouler un Ministère de l’Éducation et celui-ci ne livre rarement la marchandise ou quand il y parvient, on a presque envie de dire qu’elle est avariée.
Ce présent commentaire est signé par un contribuable qui est « tanné » de payer et qui a le sentiment de ne jamais en avoir pour son argent, surtout dans les services gouvernementaux.
Gilles Pelletier, Québec
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