QUEBECITUDE

MADAME "B" me rassure sur les retombées de son périple en France.

À l’époque de Jean-Paul L’Allier, il était question d’un escalier majestueux qui aurait été érigés pour unir la basse-ville et la haute-ville.  Celui-ci aurait été défrayé par un soi-disant partage des coûts, mais lorsque l’on connaît les Français, ceux-ci auraient utilisé tout leur raffinement pour nous refiler les plus gros morceaux.  J’avais écrit directement à Jean-Pierre Raffarin pour lui faire part des inquiétudes des citoyens de ce cadeau « empoisonné », monsieur L'Allier en avait reçu une copie, mais malheureusement le Soleil n’avait pas cru bon publier ma lettre.

Quoi qu’il en soit, je constate que Monsieur Raffarin a certainement tenu compte des propos de la demande que je lui avais adressée, à l’effet de ne pas surseoir à l’idée d’un présent Français qui ne recevrait pas, de ce côté-ci de l’Atlantique, un accueil des plus favorables.  Madame Andrée Boucher, en reprenant ce dossier, va certainement rendre « prudent » les autorités de la France, concernant leur choix de CADEAUX envers le gros cailloux qu’ils ont perdu en Amérique et dont il y aura des festivités prévues en 2009 pour fêter le 250^ième anniversaire de la défaite des Français sur les Plaines d’Abraham et faisant ainsi la place aux Anglais qui ont permis l’accès aux Canadiens-Français à la liberté de Presse ce qu’ils n’avaient pas sous le régime Français.

Quand madame Boucher va voir son homologue français à Paris, monsieur Delanoë constatera que cette première dame d’une ville, ne fait pas les choses à moitié et qu’elle n’aime pas perdre son temps.  Déjà avons-nous pu entendre à la radio que la magnifique Plage Jacques Cartier pourra offrir la baignade et ce n’est qu’un début.  Madame Boucher est à surveiller dès qu’elle mettra les pieds sur le tarmac de l’aéroport.

Gilles Pelletier, Québec